Zarezerwuj teraz
Sprzężenie zwrotne
Przekaż informację zwrotnąFranchement pas à la hauteur. Du potage manquant de finesse alors si on est en plein été. Du veau à l'épeautre façon hamburger, un peu roboratif. Une tranche de brebis sur un mais oublie sur l'autre, erreur sur les cuissons et franchement, pas vraiment gastronomique.Le macaron châtaignes est lourd, pas du tout aérien.... côté glaces, des cristaux et glaçons .... bref ,décevantTrès beau cadre !
Repas excellent bien qu'un peu cher avec un service de qualité et très agréable.produits frais et tres bien cuisiné par le chef.
Ça fait un sacré bout de temps que je ne me suis pas mis devant mon clavier pour donner mon avis. Pas assez de temps libre pour formaliser mes coups de cœur, pourtant nombreux. Pas trop envie non plus de tirer sur les ambulances trop nombreuses dans le milieu de l’hôtellerie ou de la restauration mais les commentaires lus sur le Château d’Ayres m’ont un peu agacé.Comme il est facile de dézinguer un établissement, comme il doit être jouissif de ruiner des mois d’effort en quelques clics. Drôle d’époque où les médiocres usent de leur pouvoir de destruction sans avoir à se justifier, ni rendre de compte à personne.Je ne serai pas l’avocat aveugle de cet établissement, qui est probablement perfectible sur bien des points, mais je voulais rendre hommage au maître des lieux le plus objectivement possible.Ma première pensée en franchissant la grille du parc – mon statut de chef d’entreprise y est sans doute pour beaucoup – fut de m’interroger sur l’impossible rentabilité d’un pareil paquebot perdu au milieu de nulle part, dans un environnement de vacances low cost. Comment peut-on faire venir ici des clients prêts à débourser assez d’argent chaque jour pour entretenir une telle bâtisse ? L’autoroute n’est qu’à 40 km mais je me suis demandé plusieurs fois si mon GPS ne s’était pas trompé tant la route est étroite. Dans la région on ne compte pas en distance, mais en temps passé. Décider de passer quelques jours à Meyrues, c’est accepter de quitter notre monde connecté et s’immerger dans la France d’avant-hier.Alors puisqu’il faut en passer par là, commençons par les points à améliorer :Le parc est grand, très grand ou… trop grand pour qu’un jardinier puisse le maîtriserLa décoration est vieillissante. Dans le couloir est immortalisé le séjour d’hôtes sans doute prestigieux, ils posent en tenue de chasse devant leur DS avec leurs compagnes, ferventes admiratrices de Mary Quant. Ils ont certainement connu le papier peint de ma suite…Les membres du personnel sont serviables et souriants, tout au moins ceux qui parlent français et sont susceptibles de vous comprendre. Quand je vous disais que Meyrues est au bout du Monde, dans un pays qui compte trois millions de chômeurs, il est impossible de recruter du personnel local. Seules de solides portugaises âpres à la tache, ou d’accortes hongroises chasseresses de Carte Vitale, acceptent de s’exiler ainsi.Aucune connexion Wi-fi dans les chambres. Une seule petite brique dans le salon principal ne m’a pas permis de streamer. Sans liaison SFR, j’avais enfin une excuse pour oublier l’anniversaire de ma belle-mère… et ça c’est vraiment scandaleux !Le restaurant est honnêtement quelconque, mais là encore tout dépend de ses références. En sortant du Château de l’Yeuse, on fait la tête, mais après quinze jours de croisière bretonne, on salive même devant le menu de demi-pension. Et toujours la même question, comment faire venir ici une pointure ? Si j’ai bien compris, la maîtresse de maison règne sur les cuisines. Je ne doute aucunement que ses petits-enfants se souviendront de ses petits plats, mais je m’en satisfais moins.Et puis les bonnes surprises : Une salle de bains flambant neuf vient racheter le caractère vieillot de ma suite. Je n’imagine pas le budget d’un tel effort de rénovation dans des murs aussi vieux, et il faut multiplier par le nombre de chambres !!!Vraiment surprenant de trouver une piscine aussi belle dans ce coin perdu. Température parfaite pour se réchauffer au retour d’une promenade vespérale.Aucune raison de vous ennuyer, à condition de savoir vivre sans votre Itruc à la main. De toute façon, il n’y a presque pas de liaison alors il faudra bien vous mettre au ping-pong ou au billard ou aux jeux de société ou visiter la région.Alors quelle note donner ? Je regrette une fois encore le manque de souplesse de la notation de Trip Advisor. Trois étoiles sont un peu sévères compte tenu des efforts manifestes des gérants, et quatre probablement trop généreuses compte tenu des insuffisances. Mais comme nous sommes dans une époque où seul l’instantané compte, je mettrai malgré tout une quatrième étoile pour encourager les propriétaires à poursuivre leur travail titanesque de sauvegarde de ce bâtiment.
On se sent privilégié d'être reçu avec sourire et gentillesse par le "châtelain" pour un diner aux chandelles dans le parc du château sous d'immenses arbres séculaires, belles tables nappées de blanc, un bon conseil du sommelier en accord avec les plats du menu succulent .. on a adoré.
Terrasse agréable, personnel attentif, cuisine de qualité, bref un très bon repas dans un cadre très agréable.