Snacking Paradise - Candé

New team of thunder and burgers at the top. Thank you very much for your welcome and authenticity.

Don't cook! Cold Burger! Come on! 1 hour waiting while there was nobody!!! Orders are not served at the same time!! 0 organisation !!!!

Quick service and good atmosphere. The burgers are top, the paninis are good but lack of tomato rawness), the sandwiches of the same onion tomato). Perso fries side) not top, not cook enough for certain and too much for others and especially too soft and fat. Overall, I recommend.

Samedi 7 janvier 2017Lieu : CandéObjectif : Colloque sur les techniques de reforestation en Amazonie12h20 :j’étais en déplacement pour le travail je ressors de ma réunion et j’avais une faim de loup, un collègue m’a conseillé de faire un tour au 24 rue Charles de Gaulle au Snacking Paradise12h24 : 1er point positif : Arrivée devant L'établissement SNACKING PARADISE, j hésite car de la façade me fait penser à un chic salon de coiffure façon Barber Shop haussmannien, tant par le style architectural que par le choix esthétique des couleurs et de l'écriture. Heureusement l'expression "Burger House" m'a mis sur la voie ... et le distributeur de paninis 24h/24h bien sûr;)Bref, Une vitrine avec du Standing destinée à la restauration qui donne d’ores et déjà envie de s'intéresser à ce qui se mijote à l'intérieur.12h27 : 2nd point positif : j'entre et c'est là que j'ai pensé (après avoir été subrepticement happé par l’odeur puissante d'une grillade de bœuf fumée par le bacon lui-même confondu en excuses sous la parcelle fondue d'un authentique fromage de caractère) : "Non, ce n'est pas qu'une façade"12h27 et 25sec:3eme point positif : Le responsable qui trouve un moment pour me souhaiter le Bonjour et la Bienvenue entre les commandes de sa ribambelle de clients, (et le sourire avec ! )me demande de patienter un instant avant de prendre ma commande dans un lieu convivial qui ressemble à un salon Lounge équipé de canapés vintage aux couleurs chaleureuses à faire pâlir les aficionados du genre . Je me permets de souligner cet aspect-là car la valeur accueil se perd dans certains établissements de plus haut standing . Bref je consulte la carte , les oreilles chatouillées par de la musique originale, et je suis frappé par la diversité des propositions culinaires dois je dire "culturelles" ( nous trouvons le fameux panini italien, le fish & chips british, le tacos mexicain et même des spécialités du moyen orient à base de kebab ou kefta). Apparemment des repas pour tous les goûts et plus même... pour tous les prix, pour les petits comme les grands…bref pas le temps de consulter la carte des burgers ( eux-mêmes de culture américaine;)12h30 : c'est le moment de la commande. Et là je demande béatement : « quelle spécialité exalte la pièce d'aussi subtiles parfums ? » Le chef-cuistot me répond simplement:-« The Big Burger ». et là je regarde la composition et je comprends . C'est aussi à ce moment précis que l'itinéraire synaptique relié à mes papilles prit une décharge électrifiée. Quelle audace !!!! de se faire marier 3 cultures : .Américaine par son pain frais semi brioché au sésame, son steak pur bœuf son cheddar , ses oignons rouges crus ou frits , son bacon , les cornichons... Française par l'ajout d'un fromage de tradition savoyarde : le fameux Reblochon...Et Suisse par l'illustre Raclette qui saura être le trait d'union entre les deux cultures. Bref, je fais comprendre au restaurateur que mon choix est fait ( cf The Big Burger ). Commande réglée. J’attends patiemment !12h40 : Le Burger arrive garni de ses frites traditionnelles (qu’on aurait dit que ce sont celles que nous cuisinait Mamie avec ses pommes de terre à l'ancienne) mmmm, un vrai régal. Bref je me décide à croquer dans le burger. Et là, je ne sais pas ce qui m'arrive, palpitations et tremblement des paupières, il me semble que je perds connaissance un instant, à mi chemin entre l'anévrisme et l'infarctus du myocarde, je reprends mes esprits et commence à comprendre que je n'avais pas eu à faire à un goût aussi surpuissant depuis des lustres en matière de composition culinaire. Les violons progressent crescendo jusqu’au point d’orgue…1ere Conclusion : « Non ce n’est pas qu’une façade » … enfin je veux dire que le goût de ce joyau culinaire est encore plus stylé que la façade de l’établissement !12h41: 2eme bouchée. Diagnostic : Un mariage d'aliments sûr et mûrement réfléchi 12h42 : 3ème bouchée : 2nd diagnostic ce sont sans aucun doute des produits frais de très bonne qualité. On ne peut pas obtenir un résultat aussi probant avec des denrées surcongelées de second choix.12h43 : 4ème bouchée : 3ème diagnostic : trop facile, il manque quelque chose : Le timing de cuisson .La qualité du matériel utilisée Oui certes, une partie du secret de cette recette est là ! Il doit encore manquer quelque chose… mmm12h44 : 5ème bouchée : je lève la tête j’aperçois mon restaurateur derrière ces fourneaux, entrain de se démener pour ses commandes et ses clients et c’est là que je comprends une chose :Le résultat qu’est ce goût mémorable n’est pas le fruit du hasard ou d’un apprentissage purement technique. Non, il faut prendre en compte « L’envie de faire et même l’envie de bien faire »…qui se ressent dans chaque bouchée de ce Burger audacieux. Le gérant de Snacking Paradise, est un spécialiste de la restauration qui a su associer à ce professionnalisme, cette dose historique « d’amour » qu’on nous a souvent narré dans la littérature du féerique 12h50 : Dernière bouchée. Un régal, rassasié, je discute quelques minutes avec sa collaboratrice très sympathique et lui fait l’éloge de leur Burger autour d’un café (offert aux nouveaux clients) et elle me parle d’un énième point positif : J’apprends que Snacking Paradise utilise des produits frais mais achetés aux fournisseurs ou commerçants locaux exerçant à moins de 50 km de Candé ce qui fait de « Snacking Paradise, la première sandwicherie Burger House raisonnée du Canton ». Le + socio-éducatif, Snacking Paradise ouvre ses portes à des étudiants pour des stages ponctuels dans le domaine de l’Hôtellerie-Restauration.Et la cerise socioculturelle, c’est que le gérant diffuse le plus souvent la musique des jeunes talents de Haute Anjou12h58 : Bref je vais aux toilettes, hygiène impeccable avec accessibilité pour personnes à mobilité réduite, Seul bémol :Le Dyson Airblade 2 (pour se sécher les mains) n’est plus à la mode ;))))13h04 : Je salue les responsables du restaurant et m’en vais prendre mon avion pour ValparaisoVoilà comment un burger (simple en apparence) me fit redevenir carnivore.Hannibal L.

Une carte simple mais très bonne. Les frites maison sont extra!Attention: les jours de fortes affluences prévoir beaucoup d'attente.Le personnel est très agréable mais nous avons plusieurs fois eu droit à des erreurs et oublis dans nos commandes.